Médiation

12.05.23 — 27.05.23

Le Grand Huit, L'îlot des Îles 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

organisé par Laura Bottereau & Marine Fiquet encadré par collectif bonus

Texte pour l’exposition « Be my ghost » de Laura Bottereau & Marine Fiquet

Cette exposition fait suite à une résidence de recherche menée aux Archives Gaies du Québec (AGQ), à l’automne 2021. Issue de ce temps de travail, Be my ghost associe commissariat d’archives et créations d’oeuvres. Initiant un dialogue posthume, l’exposition propose une immersion subjective, sentimentale et politique à travers les archives (…)

Cette exposition fait suite à une résidence de recherche menée aux Archives Gaies du Québec (AGQ), à l’automne 2021. Issue de ce temps de travail, Be my ghost associe commissariat d’archives et créations d’oeuvres. Initiant un dialogue posthume, l’exposition propose une immersion subjective, sentimentale et politique à travers les archives de Guy Fréchette, poète et photographe québécois, décédé des suites du sida à 43 ans.
Après sa disparition en 1996, ses archives personnelles sont léguées à Jean Logan1, son premier compagnon. En 2020, ce dernier fait don des documents aux AGQ. L’oeuvre de Guy Fréchette, très peu diffusée, reste aujourd’hui méconnue.

En préparant ce temps de résidence aux AGQ, nous imaginions y déceler quelques invisibles et partions en quête d’archives lesbiennes, systématiquement sous‐représentées dans l’histoire de notre communauté. Croisé au hasard des cartons, le fonds « Fréchette » a bouleversé notre itinéraire de recherche. Be my ghost fait suite à cette rencontre.
Comme toute une généalogie d’auteur·e·s aux voix homosexuelles, queers et dissidentes invisibilisées, l’oeuvre de Guy Fréchette porte des récits qu’il est indispensable de faire circuler. Ces archives continuent de parler ‐ elles témoignent ‐ nous les invitons à ne plus être tues.

« Se souvenir n’est pas un simple acte de la mémoire, on le sait. C’est un acte de création. C’est fabuler, légender, mais surtout fabriquer. C’est‐ à‐dire instaurer. […] l’anglais, à cet égard, permet un joli métaplasme avec le remember qui veut dire se souvenir, mais qui lorsqu’on le scande re‐member, signifie recomposer, remembrer.
Recomposer, reconnecter des morts, certes, mais aussi des récits, des histoires qui les portent, qui se situent à partir d’eux, pour se laisser envoyer ailleurs, vers d’autres narrations qui ‘re‐suscitent’ et qui elles‐mêmes demandent à être ‘ré‐suscitées.’ »2

 

À TRAVERS LE FILTRE DES ARCHIVES

Guy Fréchette explore le rapport texte‐image en alliant autofiction, prose poétique, manifeste engagé, élégie amoureuse et humeur noire. Ses textes et photographies naviguent entre paysages cinématographiques et dialogues érotiques. Tout aussi crue que sentimentale, son oeuvre est traversée par l’angoisse du sida, la perte et l’abandon. Son écriture incisive offre une plasticité dans le fond comme dans la forme. Guy Fréchette découpe littéralement ses lettres d’amour et ses manuscrits pour inclure leurs fragments à ces fictions intimes.

Les documents qui composent ces archives se situent pour la plupart dans une zone liminaire entre ce qui est écrit pour soi et ce qui est adressé à l’autre. Les discours poétiques de Guy Fréchette sont baignés de récits personnels, ses journaux intimes constituent les cahiers de brouillon de ses recueils. Il semble impossible de tirer une frontière entre ces modes d’écriture, tant leur porosité transparaît. Be my ghost se lit à travers un filtre, celui des archives, qui interroge nombre d’enjeux paradoxaux. Le statut des documents ne permet pas d’affirmer l’achèvement d’une forme, mais plutôt d’en traduire les variations. Semant un flou entre l’ébauche et l’abouti, le poème et la lettre, l’oeuvre et sa documentation, l’exposition rend visible tout en faisant place aux manques.

Be my ghost propose d’apercevoir. Appréhender l’oeuvre de Guy Fréchette implique de prendre en compte son caractère fragmentaire. Certaines traces sur disquettes sont devenues aujourd’hui obsolètes, impossibles à ouvrir, à lire ou restaurer. L’archive compose une matière vivante, capable de s’altérer. Ces disquettes cristallisent une part d’insaisissable, nous rappelant que l’invisibilisation entraîne la perte, et l’absence de transmission entraîne l’oubli. Une photographie de ces objets amnésiques appuie cet effacement.

Étiquetées, Je ne t’ai pas envoyé de lettres… les disquettes deviennent une enveloppe, l’image d’une correspondance fantasmée.

« Certaines de ces technologies contenaient un principe d’obsolescence (…) [elles] n’atteignent plus le seuil minimal du visible ou de l’audible. Ces machines ont pourtant littéralement affecté les arts et l’activisme à la fin du XXe siècle, l’histoire aujourd’hui ne saurait se passer de leurs affects fantomatiques. »3

 

DES COURRIERS POUR MÉMOIRE

La mise sous pli embrasse l’exposition : be my ghost est pensée au « format lettre »4. Les documents se trouvent présentés proportionnellement à cette dimension. Si nous acceptons sciemment la contrainte de retailler nos prises de vues à ce format, c’est qu’il rejoue et affirme un hors‐champ, un point de vue subjectif dans la compréhension des éléments.
L’ensemble fonctionne comme une lettre ouverte, déployant ses ramifications, comme un dialogue épistolaire rempli de souvenirs, une mémoire à partager. Format courrier, l’exposition peut se plier et se loger dans une enveloppe, en attente d’être redéployée.

Guy Fréchette utilise la correspondance comme outil de fiction et de désir. Des lettres, jamais envoyées, tapissent les archives de l’auteur. Certaines resurgissent dans ses textes poétiques, souvent à peine remaniées, si ce n’est par la suppression du prénom du destinataire. Son recueil Je ne t’ai pas envoyé de lettre… porte le titre de ce mode d’écriture.
L’exposition s’ouvre sur ce tapuscrit5. Déployé au mur comme un chemin de fer éditorial, ce texte articule un récit central, une colonne vertébrale dont il ne cessera d’expérimenter les mutations. Rédigé entre 1985 et 1995, l’ouvrage incarne une traversée temporelle, une déclaration d’amour autant que sa fuite, une déclamation de doutes acerbes, au pessimisme insolent et terriblement lucide.

Guy Fréchette apprend qu’il est séropositif en 1990. Le virus s’immisce dans son corps et dans son écriture, il traverse et modifie la trajectoire de ses récits et génère une urgence. Cette torsion dans la temporalité marque irrémédiablement son langage. Je ne t’ai pas envoyé de lettre… en est empreint. Le sida ne constitue pas le sujet du recueil, comme il ne forme pas le sujet de l’exposition : le sida contamine le sujet.
Be my ghost ne s’installe pas dans la chronologie rigoureuse d’un « avant » et d’un « après » virus, invitant à penser le sida dans une temporalité politique qui se poursuit au présent.

 

DES DIALOGUES EN SURIMPRESSION

Joignant les époques, différents modes d’échanges ponctuent l’exposition. Retranscrits sous forme de fiches d’emprunts de bibliothèque, aussi appelées « fiches fantômes », des conversations annexes s’inscrivent comme des indices à relier. Transmissions orales, mails, screenshot sérendipien6 et monologues intimes extraits des journaux de Guy Fréchette donnent voix à des données manquantes.

Pour montrer, il nous a fallu dupliquer : photocopier, numériser, photographier. Seules les diapositives sont un emprunt au fonds. Elles contiennent un recueil7 que Guy Fréchette est venu photographier page par page. Formant un ouvrage miniaturisé, ces diapositives posent à leur tour la question du duplicata. Cette logique de multiplication répond aux images du recueil. Photographiées d’après écrans cathodiques, des séquences de films érotiques et de vampires parsèment son œuvre, elles fusionnent en surimpression avec ses captations personnelles. Ce glissement dans l’écran divulgue un trouble volontaire, un besoin de connecter le réel à la fiction. Certaines traces documentaires réalisées depuis le fonds Fréchette reflètent cette notion d’écran. La loupe grossissante ou magnifying sheet utilisée comme outil de lecture convoque alors des erreurs, des aberrations chromatiques comme de potentielles variations et vibrations capable de faire tressauter l’image vers sa virtualité. L’exposition affiche une prolifération d’images et d’informations qui se répondent comme des fenêtres informatiques, des pop‐ups qui surgissent et se chevauchent.

Be my ghost déploie textes et images en arborescence pour rendre tangible les relations poétiques, érotiques et politiques qui s’y tissent. Trouvant écho dans l’oeuvre de Guy Fréchette, l’évocation du cruising8 vient rappeler l’importance historique des lieux de rencontres homosexuelles.

La question du cadrage photographique comme oeil du désir se révèle au long de son œuvre. Certaines prises de vues, explicites ou pornographiques, initient des compositions auto‐érotiques et des mises en scène accessoirisées de cuir, de fourrure, etc. Dans son rapport à l’image, Guy Fréchette traduit également des inclinations plus implicites. Ses photographies déposent des signes à décoder : le buisson d’hortensia capturé à Provincetown9, la nuque de J.P. Ces motifs chéris apparaissent dans différentes strates d’auto‐fictions et mettent en lumière les jeux de répétition qui relationnent dans ses récits.

 

DES CORRESPONDANCES EN INFLORESCENCES

Ne cherchant pas à isoler les documents, les prises de vues réalisées aux AGQ répondent à un principe de superposition, de mise en contact. Certains objets s’immiscent sur et parmi les images. Timbres ou pochette d’allumettes illustrent la promesse d’un message. Le timbre au motif homoérotique et floral de la Collection Y. Beauregard s’invite dans l’interstice des disquettes titrées Je ne t’ai pas envoyé de lettre… et redouble un dialogue fortuit. Une pochette d’allumettes de la discothèque La Boite en Haut10 s’incruste également dans l’image et dans les lieux. En son creux, on peut lire : « Nom, adresse, téléphone, date à venir ». Présageant un rendez‐vous, cet objet aussi appelé « lettre d’allumettes », consigne un procédé de séduction, un autre moyen d’adresser ses intentions.

La vidéo Debout sous la langue11 nous permet de tisser un dialogue avec les récits de Guy Fréchette. Une collection de timbres y dessine un décor fantasmé, propice à la fiction. Conservé au AGQ, cet album de philatélie a pour unique sujet des représentations dites ‘masculines’. Page après page, l’ouvrage incarne un storyboard d’images‐désirs où les corps deviennent icônes homoérotiques. La vidéo propose une consultation silencieuse, comme intériorisée, la narration qui s’y ajoute déroule des récits enchâssés comme autant de souvenirs et d’images mentales invitant aux lectures plurielles. Debout sous la langue superpose les adresses, le timbre se mue d’objet à sujet de correspondance.

Cette logique de mise en corrélation se poursuit à travers l’apparition d’un presse‐papiers, greffé au fragment « Écraser le temps passé / et kidnapper le temps futur »12. Le presse‐papiers s’appose verticalement sur la photographie. Il rejoue un appui symbolique sur l’image, comme pour la retenir et la prémunir de l’envol. Ici, Il enlace l’image d’une fleur : la monotropa uniflora, ghost plant ou ghost flower.
Ce végétal propre à la flore Laurentienne du Québec, d’apparence cireuse et d’une blancheur éclatante, est une plante sans chlorophylle. La Ghost flower ne puise pas son énergie grâce à la photosynthèse, elle vit en symbiose parasitaire avec des champignons habitant ses racines. Elle tire des arbres voisins le sucre dont elle a besoin. Plus précisément, elle s’alimente en s’immisçant dans une relation symbiotique entre un champignon et un conifère. Si l’arbre meurt, la monotrope succombe aussi.
À l’image d’un fantôme qui a besoin d’un hôte à hanter pour se manifester, et des vivants qui font appel aux fantômes pour se souvenir, la Ghost Plant illustre les enjeux d’interdépendances qui gravitent autour de ce projet. Be my ghost repose sur ces logiques d’équilibre entre ce qui est montré, ce qui montre, et ce qui se montre. La Ghost Flower a l’autre particularité d’être insaisissable, car aussitôt cueillie ou touchée, ses fleurs noircissent complètement. Comme un impossible bouquet que l’on ne peut ni offrir, ni posséder, ces fleurs ne peuvent qu’être vues.

Les « bouquets de signes »13 sont prégnants dans l’oeuvre de G. Fréchette. Le registre floral apparaît dans son langage photographique et poétique, où fleurs et bouquets s’offrent comme des messages à décoder.
Trois poèmes frottés écrits à quatre mains ponctuent l’exposition : Host, Méandre versicolor, et Nombreuses comme des fleurs14. Ils s’appuient sur un extrait de journal intime où Guy Fréchette s’intéresse au ‘bouquet à lire’ et aux fleurs coupées comme langage. Il y note les variétés, les couleurs,le nombre et leurs significations.15
Ces poèmes frottés sont basés sur un protocole d’écriture. Des formes textuelles, hésitant entre empreinte et dessin, viennent puiser dans le vocabulaire des zones botaniques du Jardin des plantes de Nantes. Celles‐ci constituent une autre source d’archive, cette fois végétale, où chaque plante s’y trouve référencée par le biais d’un cartel embossé. Nous travaillons à l’aide d’un registre de termes patiemment récoltés, cartographiés et de son champ lexical imposé. Notre outil graphique et rédactionnel fonctionne par procédé de frottage. Nous utilisons ces plaques et les caractéristiques des plantes renseignées pour adresser et rédiger des nouveaux textes où les fleurs indiciaires forment un langage amoureux.

« Ce qui touche, je l’ai appris, et c’est une dimension importante de l’écologie des sentir, demande relais, reprise : ‘Passe ce qui touche, touche d’autre à son tour.’ Ce qui nous touche relève de l’écologie du viral ; faute d’hôtes, ce qui touche s’étiole, et ne pourra plus toucher personne. Ce qui nous touche nous requiert. »16

Be my ghost « mémoire branchée sur le désir » de Guy Fréchette amorce les liens métaphoriques, les connexions sensuelles, neuronales ou électroniques présentes dans l’oeuvre de l’auteur. L’exposition propose de se relier à cet héritage, de poursuivre ces récits et d’en faire circuler la parole. Le détournement de la formule « be my guest » pour « be my ghost » forme une invitation à chérir nos mémoires queer, à initier des dialogues inflorescents et se laisser hanter17 de sentiments.

Laura Bottereau & Marine Fiquet

 

Nous avons rencontré Jean Logan et poursuivons les échanges. Ses précieux témoignages ont accompagné la construction de l’exposition.

Vinciane Despret, Au bonheur des morts, récits de ceux qui restent, p.80‐81, Ed. La Découverte, 2015.

Elisabeth Lebovici, Ce que le sida m’a fait, Art et activisme à la fin du XXe siècle. p.34. Ed. La maison rouge et JRP Ringier, 2017.

Le format lettre ou «letter size us» (8,5 sur 11 pouces) correspond aux dimensions standards du papier au Canada. Les tapuscrits de Guy Fréchette sont au format lettre.

Recueil Je ne t’ai pas envoyé de lettre… rédigé entre 1988 et 1995. La version présentée a été publiée dans ‘Les saisons littéraires’ de 1995. Il en existe de nombreuses variations, dont une maquette de 1991 intégrant des photographies.

Sérendipité: Capacité, aptitude à faire d’une découverte inattendue un signe.

La mariée pompeuse: trop de tumulte dans l’enrobage. G.Fréchette, 1991. Livre d’artiste. Ouvrage tiré en quatre exemplaires sur papier Whatman 145g.

Dans la culture homosexuelle le cruising désigne la quête d’un ou de plusieurs partenaires occasionnels et anonymes. Toilettes publiques, forêts ou parkings peuvent en être le lieu.

Provincetown (Etats‐Unis), lieu de villégiature gay et lesbien depuis les années 1920.

10 Bar dansant accueillant des drag show, situé dans le village gai de Montréal. Il est le premier à exister rue Sainte‐Catherine. Ce secteur sera progressivement occupé par la communauté gaie et lesbienne à partir des années 1970.

11 Vidéo 04m55s, réalisation et texte Laura Bottereau & Marine Fiquet. À partir de la Collection de timbres donnée par Y. Beauregard en 2018 © AGQ.

12 Fragment de poème, G. Fréchette 19‐‐ documents ©AGQ, Photographie : Bottereau & Fiquet.

13 G. Fréchette, Extrait de journal, 19‐‐.

14 Poèmes frottés, Laura Bottereau & Marine Fiquet, graphite sur papier, 2023.

15 On y lit : « Rose blanche : je vous aime en silence / rendez‐vous à minuit. Jaune: je vous pardonne de votre infidélité. Un pétale : je me ferai léger dans votre vie. Nombre de fleurs sur la branche ‐ heure du rendez‐vous. »

16 Vinciane Despret, Au bonheur des morts, récits de ceux qui restent, p.98, Ed. La Découverte, 2015.

17 Référant à l’« Hantologie » de Derrida, au « spectre comme effet d’archive » dans Les mots de Jacques Derrida, P. Delain, Ed. Guilgal, 2004‐2017.

ExpositionNon classé

08.11.24 — 23.11.24 15h-19h

Nantes en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

organisé par Bonus

Exposition « Murmuration » de Cassandre Fournet

La scénographie de Cassandre Fournet évoque la murmuration des oiseaux. Comme ces milliers d’étourneaux qui accomplissent une danse harmonieuse et fluide dans le ciel, ses toiles dialoguent entre elles et se complètent, formant un ensemble vivant. Chaque fragment de paysage, inspiré de ses trajets journaliers, compose une installation où l’abstrait (…)

La scénographie de Cassandre Fournet évoque la murmuration des oiseaux. Comme ces milliers d’étourneaux qui accomplissent une danse harmonieuse et fluide dans le ciel, ses toiles dialoguent entre elles et se complètent, formant un ensemble vivant. Chaque fragment de paysage, inspiré de ses trajets journaliers, compose une installation où l’abstrait se mêle au concret. On découvre ainsi des zones de chantier, des adventices poussant dans les fissures du béton et autres détails souvent négligés dans notre quotidien.

ExpositionRencontre/conférenceRésidence

26.10.24 — 27.10.24 13h-17h

Nantes Espace vert de la Cité des Hauts - Pavés, entre la rue du Berry et la rue d'Angoumois Cité des Hauts-Pavés - entre la rue du Berry et la rue d'Angoumois 44400 Nantes

« Mai(s) encore » restitution de résidence de Myriam Simard-Parent

Sortie de résidence « Mai(s) encore », une installation  de Myriam Simard-Parent. A l’issue de sa résidence de deux mois à Bonus, Myriam Simard-Parent présentera, les samedi 26 et dimanche 27 octobre, une série de sculptures faite à partir de divers bois récupérés à Nantes et réalisée à l’aide de la taille (…)

Sortie de résidence

« Mai(s) encore », une installation  de Myriam Simard-Parent.

A l’issue de sa résidence de deux mois à Bonus, Myriam Simard-Parent présentera, les samedi 26 et dimanche 27 octobre, une série de sculptures faite à partir de divers bois récupérés à Nantes et réalisée à l’aide de la taille directe et de multiples méthodes d’assemblages.
Son projet porte sur la présence des arbres dans la ville. Les sculptures témoignent ainsi d’observations et de réflexions sur la charge historique et symbolique des arbres et prônent la possibilité de les considérer comme des alliés à divers niveaux.
Les sculptures prendront alors comme socle une clôture circulaire qui entoure un arbre, comme si les œuvres tournaient en rond autour de lui, telle une fanfare ou une manifestation.

📅 Rendez-vous les samedi 26 et dimanche 27 octobre de 13h à 17h.
📍Espace vert de la Cité des Hauts-Pavés, entre la rue du Berry et la rue d’Angournois – 44000 Nantes
Accès : Tram 3 : Arrêt Poitou

Cette Résidence Croisée avec le Centre CLARK bénéficie du soutien de l’Institut Français – Ville de Nantes, du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts du Canada et Conseil des arts de Montréal.

Médiation

15.04.24 — 23.04.24

Ateliers artistiques avec des personnes en situation de précarité ou d’exclusion sociale

Ces ateliers ont été réalisés en étroite collaboration avec les associations Parenthèse et Aurore situées à proximité de nos ateliers de Dalby. Créée en 2023, l’association Parenthèse vise à lutter contre l’isolement culturel et artistique des personnes en situation de précarité ou d’exclusion sociale. Parenthèse a à cœur d’identifier et de valoriser (…)

Ces ateliers ont été réalisés en étroite collaboration avec les associations Parenthèse et Aurore situées à proximité de nos ateliers de Dalby.
Créée en 2023, l’association Parenthèse vise à lutter contre l’isolement culturel et artistique des personnes en situation de précarité ou d’exclusion sociale. Parenthèse a à cœur d’identifier et de valoriser chaque personne qui croise sa route. L’association crée ainsi des liens entre les organismes et les intéressés.
En avril 2024, 4 ateliers et initiations artistiques libres et adaptés à tou.te.s, avec pour maître-mot l’inclusivité, le collectif et la transmission ont été réalisés avec les artistes usager.e.s de Bonus Dalby :
– Effets spéciaux, mise en scène de l’imaginaire par Ines Elichondoborde
– Initiation à la linogravure et l’impression textile par Bérénice Nouvel
-“Et si on renversait le gobelet ?” atelier d’initiation à la peinture au café par Antoine Caclin
– Initiation à la technique de la gravure taille douce par Jules Faye

Rencontre/conférence

03.10.24 18h30

Nantes Bonus Félix Thomas 39 rue Félix Thomas 44000 Nantes

organisé par Bonus

Visite d’atelier et présentation publique

À la rencontre de Thibault Casteigts et de Maëlle Ledauphin, en collaboration avec Alexandre Bauchet. Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas le jeudi 3 octobre 2024  pour une visite d’atelier à partir de 17h30 suivie d’une présentation publique à 18h30. Le partenariat avec l’École supérieure d’art et (…)
À la rencontre de Thibault Casteigts et de Maëlle Ledauphin, en collaboration avec Alexandre Bauchet.
Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas le jeudi 3 octobre 2024  pour une visite d’atelier à partir de 17h30 suivie d’une présentation publique à 18h30.
Le partenariat avec l’École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans initié en avril 2024 s’achève le 9 octobre. Pour clôturer ce cycle, les trois artistes, récemment diplômé.e.s nous accueillerons dans l’atelier 18 afin de nous présenter le travail réalisé pendant leur séjour de deux mois à Bonus.
Cette visite sera suivie d’une courte présentation publique.

Exposition

11.10.24 — 26.09.24 15h-19h

Nantes en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

organisé par Bonus

Exposition « *des lichens d’amour et d’eau fraîche (perdre la mémoire*) » d’Anaïs Lapel

bleu silence vraiment ?   les trônes regarde les images laguent depuis depuis quand déjà ?   au sol chaque jour pareil   les instructions les lignes tremblent comme cette certitude vous souvenez-vous ? que tout irait bien

bleu silence

vraiment ?

 

les trônes regarde

les images laguent

depuis

depuis quand déjà ?

 

au sol

chaque jour pareil

 

les instructions

les lignes tremblent

comme cette certitude

vous souvenez-vous ?

que tout irait bien

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Médiation

11.03.24 — 19.04.24

Projet d’éducation artistique et culturelle par Thomas Malenfant

Les objets « techniques », eléctroniques et mécaniques nous sont opaques, leur design de boîte noire et fermée par des coques en plastiques impénétrables nous les rendent étrangers et en font des ob- jets magiques qui exécutent miraculeusement tous nos désirs. Pour éveiller les enfants au monde des objets, à (…)

Les objets « techniques », eléctroniques et mécaniques nous sont opaques, leur design de boîte noire et fermée par des coques en plastiques impénétrables nous les rendent étrangers et en font des ob- jets magiques qui exécutent miraculeusement tous nos désirs.

Pour éveiller les enfants au monde des objets, à leur fonctionnement et leurs rouages et mieux com- prendre leurs formes, ils se mettront dans la peau d’archéologues du futur, ayant pour tâche d’en démonter certains provenants de notre quotidien. Avec chaque classe, un (ou des objets) objet hors d’usage sera proposé à l’exploration : une imprimante, un écran, une bouilloire. A partir des pièces dé- tachées, des observations dessinées, textuelles seront réalisées. Pour finir, les enfants réaliseront des assemblages entre tableaux et sculptures à partir des piècces détachées.

Cette initiation est un premier pas vers les pratiques DIY, de détournements et réappropriation des objets par une meilleure connaissance de ceux-ci – ne pas avoir peur de les ouvrir pour en garder la maitrise – autant qu’une ouverture sur une approche de la sculpture, entre collage et assemblage.

Rencontre/conférenceRésidence

05.09.24 18h30

Nantes 39 rue Félix Thomas Nantes

organisé par Bonus

Présentation publique – Myriam Simard-Parent

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas pour une soirée dédiée à l’artiste Myriam Simard-Parent, lauréate de la Résidence Croisée entre le collectif BONUS et le centre CLARK. Elle nous présentera le travail de recherche qu’elle souhaite développer tout au long de son séjour à Nantes. « Dans un (…)

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas pour une soirée dédiée à l’artiste Myriam Simard-Parent, lauréate de la Résidence Croisée entre le collectif BONUS et le centre CLARK. Elle nous présentera le travail de recherche qu’elle souhaite développer tout au long de son séjour à Nantes.

« Dans un univers ludique qui mélange des éléments du quotidien et de la culture populaire, mon travail se distingue par la sculpture de bois. Mes oeuvres sont réalisées principalement en taille directe, par un procédé de réduction de la matière, à la main et à l’aide de couteaux, d’outils rotatifs électriques et du tour à bois. J’utilise du bois brut indigène d’Amérique du Nord pour former des laminages servant de bases à mes sculptures. Plus récemment, j’intègre différents états du bois récupéré en passant par de l’écorce et des branches, à des matériaux de construction destinés à être jetés à la poubelle. »

Exposition

13.09.24 — 28.09.24 15h - 19h

Nantes en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

organisé par Bonus

Exposition « Check Point » de Lila Lou Séjourné

« En ce début du XXIe siècle, des murs sont construits frénétiquement aux quatre coins du monde. Alors que le siècle précédent avait prétendu se clore sur la promesse d’une ère d’échanges et de prospérité, des tensions nouvelles sont apparues, entre la fermeture et l’ouverture, l’universalisation et la stratification. Et ce (…)

« En ce début du XXIe siècle, des murs sont construits frénétiquement aux quatre coins du monde. Alors que le siècle précédent avait prétendu se clore sur la promesse d’une ère d’échanges et de prospérité, des tensions nouvelles sont apparues, entre la fermeture et l’ouverture, l’universalisation et la stratification. Et ce monde qui se pensait en termes de flux n’a cessé de mettre en place des filtres et des dispositifs, largement dématérialisés, de surveillance et de contrôle. Dans ce contexte, que peuvent bien signifier ces murs terriblement concrets, d’acier et de béton, grillagés ou couverts de barbelés, sortes de survivances d’un autre âge ? (…) »

Extraits de Murs, Les murs de la séparation et le déclin de la souveraineté étatique de Wendy Brown

Vernissage le jeudi 12 septembre à partir de 18h30

Exposition visible du 03 au 28 septembre 2024

Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h – 19h

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Médiation

08.01.24 — 12.02.24

Projet d’éducation artistique et culturelle par Inès Elichondoborde

«DECOUVRIR» Réalisation d’un court-métrage collectif « Les 6 saisons » est un court-métrage d’animation créé conjointement avec 6 classes de l’école élémentaire Louise Michel. Les enfants ont expérimenter chacune des différentes techniques du cinéma (prise de vue, prise de son, animation, générique…) chaque classe réalisant ainsi une étape bien distincte du (…)

«DECOUVRIR» Réalisation d’un court-métrage collectif

« Les 6 saisons » est un court-métrage d’animation créé conjointement avec 6 classes de l’école élémentaire Louise Michel. Les enfants ont expérimenter chacune des différentes techniques du cinéma (prise de vue, prise de son, animation, générique…) chaque classe réalisant ainsi une étape bien distincte du film. A la manière d’un cadavre exquis, les enfants découvraient ce qui était réalisé par la classe précédente afin de poursuivre cette chaîne créative jusqu’à son aboutissement.

Médiation

20.02.24 — 22.02.24

Projet d’éducation artistique et culturelle par Violette Vigneron

Un atelier Domino géant, la terre en commun L’atelier « Domino 4 Saisons » permet de travailler sur la représentation d’un lieu de nature que l’on apprécie, au fil des saison. La classe répartie en 4 groupes (été, automne, hiver, printemps), est amenée à penser ce qui caractérise chaque saisons et à (…)

Un atelier Domino géant, la terre en commun

L’atelier « Domino 4 Saisons » permet de travailler sur la représentation d’un lieu de nature que l’on apprécie, au fil des saison.

La classe répartie en 4 groupes (été, automne, hiver, printemps), est amenée à penser ce qui caractérise chaque saisons et à le retranscrire graphiquement sur des pièces de domino. La classe se réunit ensuite pour orchestrer les saisons selon les règles classique du domino, et dresser une frise sans cesse renouvelée.

ExpositionRésidence

05.07.24 — 27.06.24 15:00 19:00

le Grand Huit en face de la grue jaune 36 mail des chantiers 44200 Nantes

organisé par Bonus

Exposition « Systèmes complexes » d’Elisa Florimond

Un système est qualifié de complexe lorsque la multitude des interactions locales entre les parties qui le composent fait émerger de nouvelles propriétés globales. Vu sous le prisme de l’éthologie, un système complexe peut être une colonie de bactéries, un essaim d’insectes, un banc de poissons, une nuée d’oiseaux ou (…)

Un système est qualifié de complexe lorsque la multitude des interactions locales entre les parties qui le composent fait émerger de nouvelles propriétés globales. Vu sous le prisme de l’éthologie, un système complexe peut être une colonie de bactéries, un essaim d’insectes, un banc de poissons, une nuée d’oiseaux ou encore un troupeau d’ongulés. Pour Elisa Florimond, deviennent complexes la pupille verticale d’un crocodile, les mouches qui volent en angles droits et l’œuf qui ne tourne pas rond.

Vernissage le jeudi 4 juillet à partir de 18h.
Exposition visible du 05 au 27 juillet 2024 
Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h19h

Feuille_de_salle_Elisa_Florimond (pdf, 201 Ko)

PerformanceRencontre/conférence

20.06.24 18h30

Nantes Atelier BONUS 39, Rue Félix Thomas Nantes

organisé par BONUS et ZOO GALERIE

RESTERENVIE – Jihye Jung

Lancement – Jeudi 20 juin à 18h30 Atelier BONUS, 39 Rue Félix Thomas Lancement et lecture de la nouvelle parution RESTERENVIE de Jihye Jung et rencontre avec les artistes Rym Esseghaier, Ninon Madoré et Raphaël Quentin aux Ateliers Bonus Félix Thomas. RESTERENVIE de Jihye Jung est le fruit d’une collaboration (…)

Lancement – Jeudi 20 juin à 18h30

Atelier BONUS, 39 Rue Félix Thomas

Lancement et lecture de la nouvelle parution RESTERENVIE de Jihye Jung et rencontre avec les artistes Rym Esseghaier, Ninon Madoré et Raphaël Quentin aux Ateliers Bonus Félix Thomas.

RESTERENVIE de Jihye Jung est le fruit d’une collaboration entre Zéro2 éditions pour la collection Fraîches Fictions et l’Ecole supérieur d’art et de design TALM-Le Mans.

L’écriture de Jihye Jung ne va pas chercher bien loin son inspiration, elle provient directement de son quotidien le plus trivial et des multiples questionnements qui l’accompagnent, plaçant au même niveau les interrogations existentielles et la liste de courses, les réflexions sur l’entretien de sa chevelure et les considérations sur la vérité bouddhique. Pour cette artiste d’origine coréenne le creuset pour une poésie de l’émerveillement.

La collection Fraîches Fictions est née d’un désir d’accueillir des textes d’artistes, prenant acte de la multiplication, sinon de la prolifération des écrits d’artistes plasticiens et du manque de supports pour accueillir une pratique susceptible de renouveler en profondeur les formes poétiques et littéraires. Cette collection se veut le reflet d’une pratique d’écritures nouvelles d’artistes, elle accueille les écrits de Marcel Devillers, Mathilde Ganancia, Antoine Boute, Eden Tinto Collins et Yoann Thommerel.

MédiationWorkshop/atelier

09.06.24 14h

Nantes 39 Rue Félix Thomas 44000 Nantes

La Saison Vagabonde avec Cyntia Morilleau

Atelier – dimanche 9 juin – 14h – Pôle Félix Thomas Dans le cadre de la Saison Vagabonde*, c’est l’artiste Cyntia Morilleau qui a été sélectionnée pour réaliser un atelier lors de la fête de Félix Thomas, le dimanche 9 juin. Par des techniques d’impressions artisanale, son travail consiste à (…)

Atelier – dimanche 9 juin – 14h – Pôle Félix Thomas

Dans le cadre de la Saison Vagabonde*, c’est l’artiste Cyntia Morilleau qui a été sélectionnée pour réaliser un atelier lors de la fête de Félix Thomas, le dimanche 9 juin.

Par des techniques d’impressions artisanale, son travail consiste à dé-composer le geste, dé-construire les règles et les codes visuels par le détournement des matériaux et des objets.

L’atelier expérimentera les empreintes temporelles : seront créées des oeuvres de sauvegarde collective d’empreintes d’objets sous forme de posters monochromes. La récolte d’objets plats précèdera leur impression à la presse à rouleau artisanale afin d’en conserver l’empreinte et ainsi cartographier la journée de la fête de quartier passée sur le site de Félix Thomas.

Cyntia Morilleau a bénéficier d’un atelier temporaire à Bonus pendant une durée de  6 mois.

*La saison Vagabonde est un dispositif porté par la Ville de Nantes dont l’ambition est de renforcer les liens entre les Nantais et les créateurs artistiques.

 

Atelier le dimanche 9 juin à 14h au Pôle de Félix Thomas.

Adresse : 39 Rue Félix Thomas, Nantes

Accès : Tram 2 : Arrêt Saint-Félix

Exposition

05.04.24 — 20.04.24 15:00 19:00

Grand Huit en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

tout public encadré par le collectif BONUS

Exposition « Sweet Spot » de Clélia Berthier, Meg Boury, Margaux Moëllic et Igor Porte

Où avons-nous atterri ? Dans un écosystème de plantes et de caches tétons où les invasives nous susurrent des histoires. Les doigts se chargent de sel, nos oreilles et nos yeux sont bercés par une machinerie viscérale. Flottants, les récits de Sweet Spot prennent forme aujourd’hui, pour mieux se métamorphoser (…)

Où avons-nous atterri ? Dans un écosystème de plantes et de caches tétons où les invasives nous susurrent des histoires. Les doigts se chargent de sel, nos oreilles et nos yeux sont bercés par une machinerie viscérale. Flottants, les récits de Sweet Spot prennent forme aujourd’hui, pour mieux se métamorphoser demain.

Cette exposition collective regroupe des travaux des quatre artistes lauréat.e.s du Prix des arts visuels 2023 de la ville de Nantes, préambule et première rencontre avant l’exposition collective prévue à l’Atelier en juin 2025.

Vernissage le jeudi 04 avril 2024 à partir de 18h30
Soirée performances le vendredi 19 avril 2024 à 18h30

Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h19h

Feuille de salle (pdf, 502 Ko)

Performance

23.05.24

Nantes

Finissage Parade de l’exposition

Venez déguisé.e.s pour le Finissage Parade de l’exposition. « ESPACE D’ESPÈCE » « Espace d’espèces »est une exposition collective réalisée par Julien Go, Marou Gourseyrol, Martin Grimaldi, Louise Porte et Pauline Rouet. La malle secrète habite l’espace rempli d’espèces. Spacieuse, elle sera ouverte lors du finissage pour une espèce de parade. A  ce moment (…)

Venez déguisé.e.s pour le Finissage Parade de l’exposition.

« ESPACE D’ESPÈCE »

« Espace d’espèces »est une exposition collective réalisée par Julien Go, Marou Gourseyrol, Martin Grimaldi, Louise Porte et Pauline Rouet.

La malle secrète habite l’espace rempli d’espèces. Spacieuse, elle sera ouverte lors du finissage pour une espèce de parade. A  ce moment venez déguisé.e.s, il y aura l’espace pour que les espèces se transforment.

Exposition visible jusqu’au 23 mai à partir de 18h30.

Le Grand Huit, 36 Mail des chantiers, Nantes.

Ouvert du mercredi au samedi, de 15hà 19h.

Entrée libre 🙂

Rencontre/conférenceRésidence

07.05.24

bonus, FÉLIX THOMAS nantes

Présentation publique

A la rencontre d’Elisa Florimond. Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas, le mardi 07 mai à 18h30, pour une soirée dédiée à l’artiste Elisa Florimond, lauréate de la résidence de création du Collectif Bonus et actuellement à nos côté durant tout le mois de mai. Elle nous (…)

A la rencontre d’Elisa Florimond.

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas, le mardi 07 mai à 18h30, pour une soirée dédiée à l’artiste Elisa Florimond, lauréate de la résidence de création du Collectif Bonus et actuellement à nos côté durant tout le mois de mai.

Elle nous présentera son travail ainsi que le projet de recherche qu’elle souhaite développer tout au long de sa résidence d’un mois à Bonus.

La restitution de cette résidence de création sera présentée sous la forme d’une exposition personnelle qui aura lieu au Grand Huit du 5 au 27 juillet 2024.

Présentation publique le mardi 07 mai 2024 à 18h30 sur le site de Bonus – Félix Thomas.

39 Rue Félix Thomas, Nantes

Accès : Tram 2 : Arrêt Saint-Félix

Exposition

07.06.24 — 22.05.24 15h - 19h

36 mail des Chantiers en face de la grue jaune 36 mail des chantiers 44200 Nantes

organisé par Bonus

Exposition « over and other » de Julien Go

Au musée les vases sont enfermés derrière une paroi en verre, sans rien au-dedans. Il y a aussi d’autres récipients (par centaines) dont le contenu est absent : des gobelets, des carafes, des assiettes, des coupes et des bols. Ils semblent attendre quelque chose. Je pense qu’ils sont endormis, un (…)

Au musée les vases sont enfermés derrière une paroi en verre, sans rien au-dedans. Il y a aussi d’autres récipients (par centaines) dont le contenu est absent : des gobelets, des carafes, des assiettes, des coupes et des bols. Ils semblent attendre quelque chose. Je pense qu’ils sont endormis, un peu comme Blanche-Neige dans son cercueil de verre. Pendant ce temps dans l’espace, l’univers poursuit sa phase d’expansion ; il s’étend, et les étoiles comme chaque corps céleste s’éloignent lentement les unes des autres. On ne sait toujours pas si cela aura une fin-

Vernissage le jeudi 6 juin à partir de 18h30.

Exposition visible du 07 au 22 juin 2024.

Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h – 19h

la_bande_sonore_de_over_and_other (pdf, 341 Ko)

Médiation

11.03.24 — 19.04.24

Projet d’éducation artistique et culturelle par Thomas Malenfant

Les objets « techniques », eléctroniques et mécaniques nous sont opaques, leur design de boîte noire et fermée par des coques en plastiques impénétrables nous les rendent étrangers et en font des ob- jets magiques qui exécutent miraculeusement tous nos désirs. Pour éveiller les enfants au monde des objets, à (…)

Les objets « techniques », eléctroniques et mécaniques nous sont opaques, leur design de boîte noire et fermée par des coques en plastiques impénétrables nous les rendent étrangers et en font des ob- jets magiques qui exécutent miraculeusement tous nos désirs.

Pour éveiller les enfants au monde des objets, à leur fonctionnement et leurs rouages et mieux com- prendre leurs formes, ils se mettront dans la peau d’archéologues du futur, ayant pour tâche d’en démonter certains provenants de notre quotidien. Avec chaque classe, un (ou des objets) objet hors d’usage sera proposé à l’exploration : une imprimante, un écran, une bouilloire. A partir des pièces dé- tachées, des observations dessinées, textuelles seront réalisées. Pour finir, les enfants réaliseront des assemblages entre tableaux et sculptures à partir des piècces détachées.

Cette initiation est un premier pas vers les pratiques DIY, de détournements et réappropriation des objets par une meilleure connaissance de ceux-ci – ne pas avoir peur de les ouvrir pour en garder la maitrise – autant qu’une ouverture sur une approche de la sculpture, entre collage et assemblage.

Exposition

03.05.24 — 23.05.24 15:00 19:00

le grand Huit en face de la grue jaune 36 Mail des chantiers 44200 nantes

Exposition « Espace d’espèces » de Julien Go, Marou Gourseyrol, Martin Grimaldi, Louise Porte et Pauline Rouet

Espace d’espèces La malle secrète habite l’espace rempli d’espèces. Spacieuse, elle sera ouverte lors du finissage pour une espèce de parade. A ce moment, venez déguisé.e.s, il y aura l’espace pour que les espèces se transforment. – Vernissage le jeudi 2 mai à partir de 18h30. Finissage / Parade le (…)

Espace d’espèces

La malle secrète habite l’espace rempli d’espèces. Spacieuse, elle sera ouverte lors du finissage pour une espèce de parade. A ce moment, venez déguisé.e.s, il y aura l’espace pour que les espèces se transforment.

Vernissage le jeudi 2 mai à partir de 18h30.
Finissage / Parade le jeudi 23 mai à 18h30. Venez déguisé.es !
Exposition visible du 03 au 23 mai 2024 (fermée les 8 et 9 mai).
Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h19h

feuille de salle Grand Huit (pdf, 262 Ko)

Médiation

02.09.24 — 09.04.24

Projet EAC Louise Porte

Louise Porte a travaillé sur le dessin, la peinture, la danse et la photographie à travers les émotions avec les élèves de 5ème du collège Saint Joseph à Ancenis. Le geste disparaît, la trace reste. Le corps deviendra l’outil de l’atelier. Ils ont travaillé sur les différentes émotions à travers (…)

Louise Porte a travaillé sur le dessin, la peinture, la danse et la photographie à travers les émotions avec les élèves de 5ème du collège Saint Joseph à Ancenis.

Le geste disparaît, la trace reste. Le corps deviendra l’outil de l’atelier. Ils ont travaillé sur les différentes émotions à travers l’expression corporelle. Louise et les élèves ont créé sur des partitions de danse, sous forme de dessins à interpréter.

Ces peintures deviennent des partitions de danse par la suite, et ils ont créé une fresque avec tous les dessins de ces silhouettes aux différentes expressions. Celles-ci ont créé une boucle et ont permis de danser de nouveau, guidés par les images qu’ils ont composées.

Rencontre/conférence

12.04.24 18h

Bonus - Site de Félix Thomas À L'ÉTAGE DU PÔLE ASSOCIATIF FÉLIX THOMAS 39 rue Félix Thomas 44000 Nantes

Tout Public organisé par Le Collectif Bonus

À la rencontre de Eugénie Faurie, Jihye Jung et Ninon Madoré

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas, le vendredi 12 avril à 18h, pour une soirée dédiée aux artistes Eugénie Faurie, Jihye Jung et Ninon Madoré. Pendant cette soirée, les trois artistes qui bénéficient d’un atelier pour une courte durée à Bonus nous présenteront leur travail et nous (…)

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas, le vendredi 12 avril à 18h, pour une soirée dédiée aux artistes Eugénie Faurie, Jihye Jung et Ninon Madoré.

Pendant cette soirée, les trois artistes qui bénéficient d’un atelier pour une courte durée à Bonus nous présenteront leur travail et nous feront part de leurs attentes quant à cette expérience.

Eugénie Faurie est accueillie à Bonus durant tout le mois d’avril dans le cadre du Projet Allers/Retours mis en place avec l’association Les ateliers (La Diode) à Clermont-Ferrand/
Ce dispositif d’échanges entre les deux structures permet aux artistes de découvrir les territoires et les écosystèmes arts visuels de Nantes et de Clermont-Ferrand.

Jihye Jung et Ninon Madoré, récemment diplômées de l’École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans viendront nous présenter leurs pratiques. Bénéficiaires d’un partenariat entre Bonus et l’École supérieure d’art et de design TALM-Le Mans, les deux jeunes artistes vont partager la vie de nos ateliers pendant deux mois et s’immerger pleinement dans le réseau professionnel nantais des arts visuels.

Photographie de Eugénie Faurie

#nantes #collectifbonus #eugeniefaurie #jihyejung#ninonmadore #lesateliersclermontferrand #talmlemans

Résidence

05.07.24 — 27.07.24

Elisa Florimond – Lauréate 2024 – Résidence de création Bonus

Elisa Florimond, née en 1995 à Cayenne en Guyane, travaille à Aubervilliers dans l’atelier du collectif Orbes. Elle a suivi des études d’art, obtenant son BTS céramique industrielle à Oliver de Serres, puis un double-cursus entre l’Ecole nationale supérieure des Beaux Arts de Paris et l’Ecole nationale supérieure des Arts (…)

Elisa Florimond, née en 1995 à Cayenne en Guyane, travaille à Aubervilliers dans l’atelier du collectif Orbes. Elle a suivi des études d’art, obtenant son BTS céramique industrielle à Oliver de Serres, puis un double-cursus entre l’Ecole nationale supérieure des Beaux Arts de Paris et l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris, dont elle est diplômée depuis 2020 et 2021.

Les installations d’Elisa Florimond associent méticuleusement formes modelées, objets et images collectés, recherchant un équilibre parfait. Elle pratique la collection, la combinaison et la transformation d’éléments variés par la sculpture et l’installation. Ses travaux fragmentaires s’unissent dans un flux invisible, déconstruisant les liens entre signifiant et signifié.

Son travail cherche à créer des ponts entre les mondes naturels et artificiels ainsi que les idées. Ses installations sont des plateformes où des éléments différents se fondent dans un tout cohérent sans se figer.

Portfolio d’Elsa Florimond

Exposition

07.04.24 — 30.04.24

Dalby Bonus 17 boulevars Ernest Dalby 44000 Nantes

organisé par Bonus

On s’en fish

« On s’en fish !! » est la dernière exposition collective des artistes qui ont été résident.e.s aux ateliers de Bonus – Dalby : EXPOSITION COLLECTIVE DU 06/04 AU 30/04 Proposée par : Alice Nicolas, Aline Brugel, Anne Derivière, Antoine Caclin, Antoine Denoual, Bérénice Nouvel, Céleste Richard-Zimmermann Corentin Massaux, Emmanuel Béranger, Gaël (…)

« On s’en fish !! » est la dernière exposition collective des artistes qui ont été résident.e.s aux ateliers de Bonus – Dalby :

EXPOSITION COLLECTIVE DU 06/04 AU 30/04

Proposée par :

Alice Nicolas, Aline Brugel, Anne Derivière, Antoine Caclin, Antoine Denoual, Bérénice Nouvel, Céleste Richard-Zimmermann Corentin Massaux, Emmanuel Béranger, Gaël Forcet-Moreau, Inès Elichondoborde, Jodie Camus, Jule Faye, Lucas Seguy, Rémy Drouard, Tangui Le Boubennec, Thomas Malenfant, Victor Tetaz-Josse, Violette Vigneron.

Vernissage le 06/04

Portes ouvertes à 16h

Vernissage et performances à partir de 18h30

Exposition

05.04.24 — 20.04.24 15:00 19:00

Grand Huit en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

tout public encadré par le collectif BONUS

Sweet Spot – Clélia Berthier, Meg Boury, Margaux Moëllic et Igor Porte

Où avons-nous atterri ? Dans un écosystème de plantes et de caches tétons où les invasives nous susurrent des histoires. Les doigts se chargent de sel, nos oreilles et nos yeux sont bercés par une machinerie viscérale. Flottants, les récits de Sweet Spot prennent forme aujourd’hui, pour mieux se métamorphoser (…)

Où avons-nous atterri ? Dans un écosystème de plantes et de caches tétons où les invasives nous susurrent des histoires. Les doigts se chargent de sel, nos oreilles et nos yeux sont bercés par une machinerie viscérale. Flottants, les récits de Sweet Spot prennent forme aujourd’hui, pour mieux se métamorphoser demain.

Cette exposition collective regroupe des travaux des quatre artistes lauréat.e.s du Prix des arts visuels 2023 de la ville de Nantes, préambule et première rencontre avant l’exposition collective prévue à l’Atelier en juin 2025.

Vernissage le jeudi 04 avril 2024 à partir de 18h30
Soirée performances le vendredi 19 avril 2024 à 18h30

Entrée libre
Ouvert du mercredi au samedi 15h19h

Feuille de salle (pdf, 502 Ko)

Médiation

09.02.24 — 24.02.24

LE GRAND HUIT EN FACE DE LA GRUE JAUNE 36 MAIL DES CHANTIERS 44200 NANTES

TOUT PUBLIC encadré par COLLECTIF BONUS

Texte pour l’exposition «Sur-Réel#1» de Raphaël Zamora

Texte respoêtique par Isabelle Crosz Parce qu’habiter à moitié le monde n’est pas une option… Et derrière les mots, le réel ne nous attend pas. C’est à nous d’esquisser la rencontre. Tous les éléments d’une fable écologique sont là : l’occupation humaine ancienne, massive, laborieuse, binaire et évidente, la poussée primale, (…)

Texte respoêtique par Isabelle Crosz

Parce qu’habiter à moitié le monde n’est pas une option…
Et derrière les mots, le réel ne nous attend pas.
C’est à nous d’esquisser la rencontre.

Tous les éléments d’une fable écologique sont là :
l’occupation humaine ancienne, massive, laborieuse, binaire et évidente,
la poussée primale, extensive et nécessaire de la nature, par émergences, convulsions,
la tension entre des présences contradictoires, antagonistes. Forcément problématisée.

L’inquiétude qui naît face à ce bousculement n’a pourtant pas lieu d’être,
il n’y a pas de sur-occupation, pas de zone à dégager, rien à conquérir…
mais séduction et invitation à habiter totalement ce qu’on a construit.

De l’onirique traverse ce monde où les éclats de lumière ne deviennent pas de la pollution lumineuse, où les plantes pionnières, lichens, mousses, lianes ne sont pas des espèces invasives,
où nos présences ne repoussent pas tout le reste, où on participe à une installation paisible.

Et le pictural est là !
Se déposant par couches, débarquant en strates, dessinant des possibles, brossant des pigments, lissant et fusionnant, attirant nos regards, organisant nos perceptions et interrogeant nos mémoires.
Rien de bien neuf là dedans mais Raphaël Zamora s’y installe et déploie son vocabulaire par entrelacs et glissements sans explicites ni formules, s’appropriant la matière du monde tout en le laissant vivre.

Derrière la séduction naissent des questions. Avons-nous besoin de nous séparer du vivant (dont nous sommes !) pour nous sentir vivre le monde ? Pouvons-nous laisser faire sans décider ? Est-ce une utopie de plus ? Sans attendre de réponses ni de certitudes.

Le chemin de la réconciliation d’avec le reste du vivant sous ces formes les plus silencieuses, permanentes et libres glisse vers nous. Ce sont les prémices d’un monde qu’on commence à vivre.

Peut-on croire que si nous formons en nous le rêve de cette rencontre, cela la concrétisera ?

Exposition

15.03.24 — 05.04.24

ATELIER BONUS, DALBY VISIBLE DE LA RUE 17 BOULEVARD ERNEST DALBY 44000 NANTES

TOUT PUBLIC encadré par COLLECTIF BONUS

Exposition « Rita »

Rita est une exposition collective de Emmanuel Béranger, Antoine Caclin, Anne Derivière, Rémy Drouard, Inès Elichondoborde, Jule Faye, Gaël Forcet-Moreau, Alexane Leprieult, Thomas Malenfant, Alice Nicolas, Bérénice Nouvel et Victor Tetaz-Josse, artistes actuellement résident·e·s aux ateliers de Bonus – Dalby. Nous vous invitons au vernissage de « Rita », le Jeudi 14 (…)

Rita est une exposition collective de Emmanuel Béranger, Antoine Caclin, Anne Derivière, Rémy Drouard, Inès Elichondoborde, Jule Faye, Gaël Forcet-Moreau, Alexane Leprieult, Thomas Malenfant, Alice Nicolas, Bérénice Nouvel et Victor Tetaz-Josse, artistes actuellement résident·e·s aux ateliers de Bonus – Dalby.

Nous vous invitons au vernissage de « Rita », le Jeudi 14 mars à partir de 18h30 à Bonus – Dalby, 17 Boulevard Ernest Dalby, Nantes. 

Temps de lectures et projections ouvertes (max. 5mn) à partir de 20h le soir du vernissage, inscription sur: dalby-bonus@protonmail.com

Suite du vernissage à La Dérive à partir de 21h30

L’exposition sera visible du 15 mars au 5 avril 2024, 24h sur 24 (visible de la rue).

waf, wof



Exposition

01.03.24 — 16.03.24 15h-19h

le Grand Huit en face de la grue jaune 36 mail des chantiers 44200 Nantes

tout public encadré par le collectif Bonus

Exposition « Infiniment(s) III » de Sophie Keraudren-Hartenberger

C’est un mot invariable qui se décline soudain au pluriel : le titre de l’exposition de Sophie Keraudren-Hartenberger, Infiniment(s), questionne l’infiniment grand dans l’infiniment petit et fusionne ces deux échelles de perception en un seul adverbe. Ce dernier raconte différents scénarios d’approche de ce qui est sans bornes, illimité dans (…)

C’est un mot invariable qui se décline soudain au pluriel : le titre de l’exposition de Sophie Keraudren-Hartenberger, Infiniment(s), questionne l’infiniment grand dans l’infiniment petit et fusionne ces deux échelles de perception en un seul adverbe. Ce dernier raconte différents scénarios d’approche de ce qui est sans bornes, illimité dans l’espace et dans le temps, mais aussi, plus discrètement, de ce qui relève d’une qualité particulièrement intense, voire indescriptible. Dans la philosophie de Pascal, l’homme est précisément montré alternativement grand et petit, suspendu entre deux infinis, entre deux abîmes : c’est dans ce même suspens que Sophie Keraudren-Hartenberger développe ses recherches formelles, où les processus de fusion tiennent incidemment une place importante.

                                Eva Prouteau, critique d’art

Exposition du 1er au 16 mars 2024.

Vernissage le jeudi 29 février à 18h30.

Ouverture du mercredi au samedi, de 15h00 à 19h00.

Annonce

Publiée le 16.02.2024

Appel à candidatures pour la mise à disposition d’ateliers d’artistes

> En savoir plus

Cette année les baux de 3 ans se renouvellent à Bonus. 23 places d’ateliers se libéreront à partir de l’été 2024 et accueilleront de nouveaux.elles artistes pour une durée de 3 ans

Dans le domaine des arts visuels la Ville de Nantes a engagé en 2018 une politique de développement du parc d’ateliers d’artistes pouvant être mis à disposition à un coût inférieur aux prix du marché.

Ces ateliers, gérés par Bonus sont répartis sur deux sites : dans le Quartier de la Création et dans le quartier Saint-Félix. Ils sont chauffés, disposent d’un accès internet et de toutes les commodités pratiques. Chaque espace de travail est partagé entre deux artistes. Un espace commun est aussi disponible pour se restaurer ou recevoir des visites.

Si vous êtes intéressé.e pour obtenir une des 23 places d’ateliers pour une durée de trois années au sein de Bonus, vous trouverez l’appel à candidatures avec toutes les informations nécessaires pour postuler sur le site de l’association, rubrique Ateliers : https://www.collectifbonus.fr/ateliers/

Date limite de dépôt des candidatures : 31 mars 2024.

Exposition

09.02.24 — 03.03.24

le bocal visible de la rue 17 boulevard Ernest Dalby 44000 Nantes

tout public encadré par collectif bonus

Exposition « Dispersé.exs »

Dispersé.exs est une exposition collective de : Antoine Denoual, Alice Nicolas, Corentin Massaux, Gaël Forcet-Moreau, Tangui Le boubennec, Victor Tetaz-Josse. 20h : lectures ouvertes et performance du collectif piscine2frites. Les inscriptions pour les lectures ouvertes sont ouvertes à touxtes et sur inscription à l’adresse mail : dalby-bonus@protonmail.com Vous pouvez venir (…)

Dispersé.exs est une exposition collective de : Antoine Denoual, Alice Nicolas, Corentin Massaux, Gaël Forcet-Moreau, Tangui Le boubennec, Victor Tetaz-Josse.

20h : lectures ouvertes et performance du collectif piscine2frites.

Les inscriptions pour les lectures ouvertes sont ouvertes à touxtes et sur inscription à l’adresse mail : dalby-bonus@protonmail.com

Vous pouvez venir lire toutes sortes de textes, des lettres d’amitiés, d’amour, de ruptures, des anecdotes, des paroles de chansons, des cartes postales de votre mamie, des SMS, etc… Ça peut durer 30 secondes, 2 minutes, 5 minutes ou 10 minutes.

vernissage : vendredi 9 février à partir de 19h

exposition du samedi 10 février au 3 mars.

visible 7 jours sur 7, 24/24

Crédits: Alice Nicolas et Gaël Forcet-Moreau

Exposition

16.01.24 — 10.02.24

2 allée Frida-Kahlo 44200 Nantes

Exposition collective « Embrasement des nuées »

Dans le cadre du partenariat entre Bonus et l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes, des étudiant.e.s en 4eme année Clémence Courtois, Benoît Delon-Jacquin , Elena Ianshina et Vincent Lépine encadré.e.s par Béatrice Méline ont réalisé un projet de commissariat d’exposition en travaillant avec une sélection d’artistes de Bonus. Ainsi, Laurence Broydé , Julien Go , Tangui (…)

Dans le cadre du partenariat entre Bonus et l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes, des étudiant.e.s en 4eme année Clémence Courtois, Benoît Delon-Jacquin , Elena Ianshina et Vincent Lépine encadré.e.s par Béatrice Méline ont réalisé un projet de commissariat d’exposition en travaillant avec une sélection d’artistes de Bonus.

Ainsi, Laurence Broydé , Julien Go , Tangui le Boubennec  et le collectif Impressions Mutantes  voient leurs œuvres exposées à la galerie de l’Ecole de Beaux-Arts dans une exposition intitulée « Embrasement des nuées ».

L’exposition, véritable expérience professionnalisante pour les étudiant.e.s, sera visible jusqu’au 10 février, du mercredi au samedi, de 14h à 18h.

merci à l’école des beaux-arts de Nantes pour les photos

Exposition

09.02.24 — 24.02.24 15h-19h

le Grand Huit en face de la grue jaune 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

tout public encadré par collectif Bonus

Exposition «Sur-Réel#1» de Raphaël Zamora

Texte respoêtique par Isabelle Crosz Parce qu’habiter à moitié le monde n’est pas une option… Et derrière les mots, le réel ne nous attend pas. C’est à nous d’esquisser la rencontre. Tous les éléments d’une fable écologique sont là : l’occupation humaine ancienne, massive, laborieuse, binaire et évidente, la poussée primale, (…)

Texte respoêtique par Isabelle Crosz

Parce qu’habiter à moitié le monde n’est pas une option…
Et derrière les mots, le réel ne nous attend pas.
C’est à nous d’esquisser la rencontre.

Tous les éléments d’une fable écologique sont là :
l’occupation humaine ancienne, massive, laborieuse, binaire et évidente,
la poussée primale, extensive et nécessaire de la nature, par émergences, convulsions,
la tension entre des présences contradictoires, antagonistes. Forcément problématisée.

L’inquiétude qui naît face à ce bousculement n’a pourtant pas lieu d’être,
il n’y a pas de sur-occupation, pas de zone à dégager, rien à conquérir…
mais séduction et invitation à habiter totalement ce qu’on a construit.

De l’onirique traverse ce monde où les éclats de lumière ne deviennent pas de la pollution lumineuse, où les plantes pionnières, lichens, mousses, lianes ne sont pas des espèces invasives,
où nos présences ne repoussent pas tout le reste, où on participe à une installation paisible.

Et le pictural est là !
Se déposant par couches, débarquant en strates, dessinant des possibles, brossant des pigments, lissant et fusionnant, attirant nos regards, organisant nos perceptions et interrogeant nos mémoires.
Rien de bien neuf là dedans mais Raphaël Zamora s’y installe et déploie son vocabulaire par entrelacs et glissements sans explicites ni formules, s’appropriant la matière du monde tout en le laissant vivre.

Derrière la séduction naissent des questions. Avons-nous besoin de nous séparer du vivant (dont nous sommes !) pour nous sentir vivre le monde ? Pouvons-nous laisser faire sans décider ? Est-ce une utopie de plus ? Sans attendre de réponses ni de certitudes.

Le chemin de la réconciliation d’avec le reste du vivant sous ces formes les plus silencieuses, permanentes et libres glisse vers nous. Ce sont les prémices d’un monde qu’on commence à vivre.

Peut-on croire que si nous formons en nous le rêve de cette rencontre, cela la concrétisera ?

vernissage : jeudi 8 février à 18h30
ouverture du mercredi au samedi de 15h à 19h.
exposition du 9 au 24 février

ExpositionRésidence

30.01.24 — 03.02.24 15:00 19:00

LE GRAND HUIT EN FACE DE LA GRUE JAUNE 36 MAIL DES CHANTIERS 44200 NANTES

TOUT PUBLIC encadré par LE COLLECTIF BONUS

Exposition « A Breath of time » de Shusuke Nishimatsu

L’artiste Japonais Shusuke Nishimatsu Hidusuke propose au Grand Huit la restitution de son temps de résidence d’un mois à Bonus, dans le cadre d’un partenariat entre Bonus et Beppu Project. Shusuke convoque ses intuitions dans son approche d’un nouveau lieu, ici une nouvelle Ville, Nantes, un nouveau contexte de travail (…)

L’artiste Japonais Shusuke Nishimatsu Hidusuke propose au Grand Huit la restitution de son temps de résidence d’un mois à Bonus, dans le cadre d’un partenariat entre Bonus et Beppu Project.
Shusuke convoque ses intuitions dans son approche d’un nouveau lieu, ici une nouvelle Ville, Nantes, un nouveau contexte de travail et de vie au sein des ateliers de Bonus.
L’artiste compose dans sa pratique avec des vidéos, photographies, sculptures, réalise des installations qu’il accompagne de textes intimistes. Chaque souvenir compte, certains marquent un début, d’autres arrêtent le temps… Ces souvenirs, perceptions multiples, traces de ses expériences, deviennent une composition narrative, un ensemble fictif marqué par le réel, façonné à la manière d’une mosaïque.

Exposition du 31 janvier au 3 février 2024.

Vernissage: mardi 30 janvier à 18h30.

Ouverture du mercredi au samedi, de 15h00 à 19h00.

 

Rencontre/conférence

25.01.24 19h00

le Balkabar 1 Rue Charles Brunellière 44100 Nantes

organisé par Louise Porte et Élise Legal encadré par collectif Bonus

Soirée participative – Histoires de comptoir au Balkabar

Un projet dessiné pour le Balkabar, par Louise Porte & Élise Legal. Louise Porte et Élise Legal vous invitent le jeudi 25 janvier prochain à une soirée forte en partage, fête, joie et autres émotions au Balkabar avec sa célèbre tenancière Marie. Ce bar mythique de Nantes ferme bientôt ses (…)

Un projet dessiné pour le Balkabar, par Louise Porte & Élise Legal.

Louise Porte et Élise Legal vous invitent le jeudi 25 janvier prochain à une soirée forte en partage, fête, joie et autres émotions au Balkabar avec sa célèbre tenancière Marie.

Ce bar mythique de Nantes ferme bientôt ses portes…

Louise Porte et Élise Legal se saisissent d’un appel à projets In Situ lancé par le collectif Bonus pour concocter une soirée participative au Balkabar. Un temps pour célébrer les histoires de comptoir que chacun chacune souhaite partager, dire au monde et pas seulement à l’oreille attentive d’un.e barman.woman.. Ramenez textes, anecdotes, chansons, histoire à partager lors de l’open mic.

La soirée continuera avec un concert de Taesa.

L’artiste et pâtissière Bettina Saroyan concoctera quant à elle un buffet artistique digne de la douce folie rock n’roll du Balkabar.

On vous dit à jeudi à partir de 19h ?

Exposition

19.01.24 — 02.02.24

atelier Bonus, Dalby visible de la rue 17 Boulevard Ernest Dalby 44000 Nantes

tout public encadré par collectif bonus

Exposition collective «Miniatures»

Miniatures est une exposition collective de Emmanuel Béranger, Tangui Le Boubennec, Aline Brugel, Antoine Caclin, Antoine Denoual, Anne Derivière, Inès Elichondoborde, Jule Faye et Bérénice Nouvel, artistes actuellement résident·es aux ateliers BONUS Dalby. Miniatures, c’est un accrochage collectif de mini-oeuvres. Elles sont miniatures par leur taille ou par leur ambition. (…)

Miniatures est une exposition collective de Emmanuel Béranger, Tangui Le Boubennec, Aline Brugel, Antoine Caclin, Antoine Denoual, Anne Derivière, Inès Elichondoborde, Jule Faye et Bérénice Nouvel, artistes actuellement résident·es aux ateliers BONUS Dalby.

Miniatures, c’est un accrochage collectif de mini-oeuvres. Elles sont miniatures par leur taille ou par leur ambition. Elles sont sinon simplement miniatures au regard du reste de la pratique individuelle de chaque artiste exposé·e.

Exposition visible 19 janvier au 02 février 2024.

Vernissage le 19 janvier à partir de 18h30.

Le Bocal est une vitrine investie chaque mois sous forme d’exposition collective par les artistes résident·es aux ateliers Bonus – Dalby. Les expositions sont visibles depuis la rue, 24/24 et 7/7.

Rencontre/conférenceRésidence

10.01.24 18h30

BONUS, FÉLIX THOMAS À L'ÉTAGE DU PÔLE ASSOCIATIF FÉLIX THOMAS 39 Rue Félix Thomas 44000 Nantes

tout public organisé par le collectif bonus

Présentation publique – À la rencontre de Shusuke Nishimatsu

Nous avons le plaisir d’accueillir en résidence depuis le 3 janvier l’artiste Shusuke Nishimatsu Hidusuke. Ce temps de résidence d’un mois se déroule dans le cadre d’un partenariat avec le Beppu Projet, situé à Beppu au Japon. Ce projet reçoit le soutien de l’Institut Français. Nous vous invitons dans nos (…)

Nous avons le plaisir d’accueillir en résidence depuis le 3 janvier l’artiste Shusuke Nishimatsu Hidusuke. Ce temps de résidence d’un mois se déroule dans le cadre d’un partenariat avec le Beppu Projet, situé à Beppu au Japon. Ce projet reçoit le soutien de l’Institut Français.

Nous vous invitons dans nos locaux de Félix Thomas le mercredi 10 janvier à 18h30 pour l’écouter parler de sa pratique artistique et des recherches qu’il va développer pendant son temps de travail à Nantes.

En attendant le 10 janvier, voici quelques mots sur sa pratique :

« L’artiste vidéaste, photographe et sculpteur partage avec le.a spectateur.ice des pensées intimes, des bribes de vie, des instants cristallisés. Il s’installe dans un espace créatif qui brouille la linéarité pour mixer des histoires banales et celle de la société. Il y a un rythme constant, que ce soit celui du mouvement, celui des autres ou celui des pensées.
L’artiste marque les événements et le temps. Il tisse avec les perceptions individuelles pour en créer des fictions et de(s) nouvelle(s) approche(s) du monde, il rééduque notre regard, et nous réapprend a remodeler le monde.
..
Shusuke est un artiste qui a un regard capable de voir les détails qui chuchotent, les connections oubliées, les naissances d’histoires, et l’impact poétique des être humains.
C’est un regard ouvert aux questions qui tournent et qui tourneront encore longtemps dans nos têtes, qui glane ces moments à l’apparence banale pour les figer autrement. »

Source : https://miyaonsen.com/artist/西松秀祐/

 

Photographie de Undine Sommer, dans le cadre de l’exposition Tsushima Art Fantasia, 2018.

#shusukenihimatsuhidusuke #nantes #collectifbonus #institutfrançais #beppuproject #francejapon

Exposition

14.12.23 — 16.12.23 16h00 - 20h00

Le Grand Huit Bonus 36 Mail des Chantiers 44200 Nantes

Tout public organisé par Le collectif Bonus

CARTON PLEIN // Expo vente de Noël

Grande vente d’œuvres pour Noël ! 40 artistes des trois sites de Bonus vous proposent à la vente des œuvres à petits et moyens prix, de zéro à trois-cents euros. L’expo/vente sera ouverte jeudi 14, vendredi 15 et samedi 16 décembre, de 16h à 20h. -> Jeudi 14, à 18h, (…)
Grande vente d’œuvres pour Noël !
40 artistes des trois sites de Bonus vous proposent à la vente des œuvres à petits et moyens prix, de zéro à trois-cents euros.
L’expo/vente sera ouverte jeudi 14, vendredi 15 et samedi 16 décembre, de 16h à 20h.
-> Jeudi 14, à 18h, vernissage de l’expo/vente !
-> Vendredi 15, à 18h, lancement nantais de l’édition rétrospective de Carnets d’artistes par ALL READY MADE !
-> Samedi 16 : DERNIER JOUR ! DERNIÈRE CHANCE pour trouver la perle rare !
Avec…
Bérénice Nouvel, Emmanuel Béranger, Laurence Broydé, Antoine Caclin, Lucas Seguy, Claire Amiot, Lila Lou Séjourné, Antoine Denoual, Aline Brugel, Laura Bottereau & Marine Fiquet, Julien Go, Jodie Camus, Charline L’Hotellier, Maël Lannou, Raphaël Zamora, Inès Elichondoborde, Cyntia Morilleau, Louise Porte, Tangui Le Boubennec, Caroline Bron, Corentin Massaux, Alice Nicolas, Céleste Richard Zimmermann, Violette Vigneron, Bettina Saroyan, ALL READY MADE, Charlotte Barry, marjorie le berre, Anaïs Lapel, Thomas Malenfant, Léa Dervieu, Clélia Berthier, Jule Faye, Anne Derivière, Danaë Barbas, Cassandre Fournet, Matthieu Husser, Michaela Sanson Braun,, Wilfried Nail, Benoît Travers, Sophie Roux-Pagès.

Graphisme : Pascale Patout

Exposition

28.11.23 — 01.12.23 15h-19h

le Grand Huit (en face de la grue jaune) 36 mail des chantiers 44200 Nantes

tout public encadré par le Collectif Bonus

Exposition « À peine tangible » de Léa Dervieu Lachaud et Lila Garret

Un projet dans le cadre du partenariat entre Bonus et l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes-Saint-Nazaire. Léa Dervieu Lachaud et Lila Garret ont été sélectionnées au terme de leur diplôme de M2 pour réaliser une immersion professionnelle dans les ateliers de Bonus. Pendant deux mois, toutes deux se sont installées sur les (…)

Un projet dans le cadre du partenariat entre Bonus et l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes-Saint-Nazaire.
Léa Dervieu Lachaud et Lila Garret ont été sélectionnées au terme de leur diplôme de M2 pour réaliser une immersion professionnelle dans les ateliers de Bonus. Pendant deux mois, toutes deux se sont installées sur les sites de Félix Thomas et l’Îlot des Îles, découvrant un nouveau rythme de travail au sein d’ateliers collectifs, découvrant le réseau d’artistes professionnels travaillant à Bonus. Cette immersion dans un espace de travail professionnel se termine par une exposition restitution du travail réalisé pendant ces deux mois de résidence « À peine tangible ».

Narrer ou effacer la fiction ? Ces deux artistes nous proposent leurs visions sur le monde qui les entourent et plus précisément sur leurs rapports aux paysages et comment celui-ci devient un espace de fiction.
Pour Lila Garret il s’agit d’un geste, celui du stylo qui en traçant emmène le regard, trouble et déforme la scène. Pour Léa Dervieu Lachaud l’image est un espace dans lequel nous projetons toutes sortes de sentiments et de réflexion créant ainsi des récits intérieurs.
Les structures métalliques appartiennent pour l’une à Lila et pour l’autre à Léa. Lors de cette exposition, elles ont décidées de les rejouer afin qu’elles deviennent un moyen de faire le lien entre leurs deux pratiques distinctes. Comme des vertèbres, ces structures permettent aux oeuvres de se rassembler et de se mélanger dans unjeu de transparence et de superposition. Ces installations créent ainsi de nouveaux paysages et de nouvelles images au sein de l’espace d’exposition.

Exposition du 28 novembre au samedi 2 décembre.

Vernissage lundi 27 novembre à 18h30.

Ouverture du mardi au samedi, de 15h00 à 19h00.

Rencontre/conférence

16.11.23

Bonus - Félix Thomas 39 rue Félix Thomas 44000 Nantes

organisé par SNAP CGT

L’art de vivre de l’art

Exposition

17.11.23 — 10.12.23

Le Bocal Ateliers de Bonus - Dalby (visible de la rue) 17 boulevard Dalby 44000 Nantes

Tout public encadré par le Collectif Bonus

Exposition « Peintoche fever »

« Peintoche Fever est une exposition collective de Anne Derivière, Rémy Drouard, Jule Faye, Thomas Malenfant, Corentin Massaux et Bérénice Nouvel, artistes actuellement résident·es aux ateliers Bonus – Dalby. Peintoche Fever, c’est un appel à toutes les peintures, celles qui collent aux doigts, celles qui glissent sur la vitre, celles qui (…)

« Peintoche Fever est une exposition collective de Anne Derivière, Rémy Drouard, Jule Faye, Thomas Malenfant, Corentin Massaux et Bérénice Nouvel, artistes actuellement résident·es aux ateliers Bonus – Dalby.

Peintoche Fever, c’est un appel à toutes les peintures, celles qui collent aux doigts, celles qui glissent sur la vitre, celles qui tiennent pas, celles qui tiennent bien, celles qui tombent du mur, celles qui en font partie tout à fait, celles qui sont bien accrochées, celles qui oublient leur ceinture de sécurité, celles qui se cachent derrière le rideau, celles qui font leur coming-out, celles qui montrent leurs derrières, celles qui sont trop maquillées, celles qui sont sans saveur et celles qui en ont beaucoup trop, celles qui s’étalent au rouleau et celles qui s’étalent au pinceau, celles qui s’étirent mal et celles qui s’en tirent bien, celles qui sont en forme et celles qui sont malades, celles qui ont de la fièvre et qui sont tellement chaudes que ça nous fait transpirer quand on s’approche un peu trop près.  »

Exposition visible du 17 novembre au 10 décembre.

Vernissage le 17 novembre à partir de 18h30.

Le bocal est visible depuis la rue.